Il s'agit essentiellement des éléments suivants :
La lecture de certains documents familiaux nous apprend que la fille d'Hélène, Julie Anselmier, habitant Genève, fait en sorte que cet héritage ne soit pas dispersé à sa mort. Elle en dresse un inventaire, à ce jour disparu, numérote les pièces et surtout indique au dos des œuvres les lieux où elles ont été créées. A la fin de la guerre, alors qu'elle a plus de quatre-vingts ans, elle fait acheter l'entier de cette collection par son cousin de La Sarraz. L'œuvre n'est ainsi pas éparpillée, mais elle reste oubliée dans les caves et les greniers, à l'exception de quelques pièces majeures qui restent en main familiale.
La qualité des documents retrouvés, ainsi que le fait que cette peintre ne soit pas une parfaite inconnue (cf la bibliographie), encouragent à pousser la recherche plus avant. La localisation des différentes œuvres, leur recoupement avec la correspondance et les clichés d'époque, ont permis de faire sur le terrain un travail d'identification. Le présent site, nécessairement évolutif, donne un aperçu des travaux d'investigation à leur stade actuel.